Euthanasie 25 janvier
Peut-on aider son semblable à rejoindre l’autre face de la vie ?.
Qui peut décider que l’espérance n’est plus de mise,
Qu’il est temps pour l’âme de déposer le bilan,et d’aller rendre compte à la source divine ?.
En fait personne.
Ou peut-être l’âme soeur,le compagnon ou la compagne dont l’amour est avéré et reconnu,
Celle qui s’est engagée pour le meilleur et pour le pire,
Mais même au nom de l’amour,pouvons-nous autoriser l’interruption du chemin de Vie ?.
La conscience universelle a autant d’interprétations différentes,que d’êtres humains sur notre belle Terre.
Une loi pourrait-elle être suffisamment encadrée pour définir l’euthanasie ?.
N’y a-t-il pas des personnes qui communiquent uniquement grâce au clignement de paupières,qui pensent et donc vivent !!!.
A chacun son corps,à chacun sa conscience.
beatricea 25 janvier
Bonsoir loic
Sujet bien difficile que celui là
il est dur de voir souffrir une personne sachant indéniablement qu’il n’y a plus rien à faire, abréger les souffrances pour que la personne retrouve enfin le repos…c’est mon point de vue, mais en a t’on vraiment le droit d’aller contre nature… question de conscience
bonne soirée à toi
bisous
béa
Dernière publication sur Enfants du Monde en peinture : Jeu sur L'encre et L'image : super album à gagner
anne06 25 janvier
et si la personne et en fin de vie et soufre le martyre doit on la laissé souffrir inutilement sujet à médité et ses bien d en parler sans tabou déja si on en parle sans tabou un progré est fait bonne soirée
Dernière publication sur : ET si l 'on faisait mentir le dicton
jcn54 26 janvier
Je suis pour l’euthanasie, mais (heureusement) n’ayant jamais été confronté à ce dernier recours, je me demande si j’en aurais le courage de passer à l’acte…
Bonne journée Loïc.
Amitiés.
JC
Dernière publication sur Jean Claude's news : Un ange parmi les anges
myelitetmoi 26 janvier
Je suis contente que tu en parles…
Je ne peux pas tout dire, mais j’ai un ami qui se penche dessus…
c’est bien ce que tu as écris. La souffrance est insupportable, mais lorsqu’on passe à l’ »acte »… dans quel état serons-nous à couper le souffle de vie??
comment rédiger une loi « adaptable » à la souffrance humaine?
c’est si difficile….

je t’embrasse Loïc
Dernière publication sur Santé, Espérance et Pêche : SCLEROSE EN PLAQUES – 14 ANS
laurearnoux 26 janvier
je sais que c’ est un chemin d’ éprezuves que de finir sa vie sur un lit!
si la volonté du malade est celle de la mort oui, respecter sa volonté!
mais par contre en aucun cas prendre une initiative pareille!
merci d’ avoir ouvert ce sujet
allons débattre de la vie ou de la mort
la vie est là tout de même alors grande question!
je ne saurais dire oui pour moi!
bonne journée merci d’ être venue me dire bonjour je suis rentrée ce matin je suis mieux mais bon !
Cilou 26 janvier
On ne peut supporter la souffrance de l’autre! C’est un fait! Mais chaque cas est unique et l’être humain est suffisamment tordu pour oser abuser même de tels instants…pourrions-nous véritablement créer une loi sans dérive aucune? Je doute…et pourtant, il n’y a pas plus insupportable que de voir souffrir les gens que l’on aime….CIlou