Grande et précieuse richesse en l’amitié accordée,
Quand par elle aussi l’amour s’exprime,
S’offre,s’évalue,rend sa fidélité,
Sa compassion,sa confidence,
Sentiments si forts que le lien même du sang,
Ne saurait traduire par la même ferveur,
L’exacte vérité,vive passion à jamais ancrée en l’éternité du coeur,
Connaître toute la richesse de l’amitié,
Et ne craindre alors rien de plus,
Que la perdre,qu’elle s’abandonne aux affres de l’oubli.
La science sans frontières,sans limite,
Recherche sans cesse de l’inconnu ou l’oublié,
Connaissance guidée par l’espérance,
Pour le meilleur du corps,pour la confiance de l’esprit,
Par la science,l’être offre le meilleur à ses jours,
Réduit l’effort,prolonge le temps de son existence,
Puisse la science découvrir,brandir en certitudes,
Toute la force,la puissance de l’amour.
Amour fait vivre,
Amour guide,notre précieux conseil,
Devin en notre être est-il,
Notre origine,notre destinée,
Pour notre gloire,notre apogée,
En la conscience de son existence,
Notre vive espérance,
Notre ferme volonté de rencontrer l’évidence,
Combien sera précieux alors le temps des certitudes toute éternité offerte,
La vie en l’amour.
Qui ne se pose de questions,
Avance-t-il à l’aveugle de son unique espérance,
Possède-t-il tant de certitudes,que le doute l’ignore,
Grand bonheur vit-il,mais qui est cet être unique,
Quand le plus sage de nos semblables ne cesse ne se poser nombre de questions,
Toujours s’en posera-t-il,
La vérité renouvelle sans fin sa science,
Nous appartient-il en cette existence,
De nourrir intensément notre être profond de vives révélations,
Embrasserons-nous alors en toute plénitude cette éternité dès notre mort rendue à l’oubli,
Notre amour se nourrit,se fortifie en ces nombreuses réponses que la vie lui offre,
Tels de précieux et divins présents.
Alors l’ami talent propose ses services,
Entend l’appel de notre vérité,
Cette puissante volonté de vivre avec plaisir,
D’exulter des capacités que l’ami talent sait innées,
Combien est-il reçu par tous les honneurs en notre amour,
Nos sens s’enthousiasment,
Rencontrent l’esprit créateur,
Offrent à nos jours tant de bonheur,
Tant d’instants d’allégresse,
Guides deviennent-ils vers l’agréable sagesse,
Grande est parfois notre surprise quand l’ami talent dévoile sa véritable personnalité,
Celle du génie.
La bienheureuse folie créatrice de l’inédit,
De cet art tout empli de magie,
Qui habite cet être plein de clairvoyance,
Si convaincu de sa probable destinée en sa conscience,
Comme né pour rendre vérité à sa science,
Bienheureuse folie créatrice toute portée par le plaisir de vivre,
D’exulter un savoir-faire serviteur d’une vive imagination,
Guidée par une incroyable énergie,
Habitée par cette vérité nommée amour,
Bienheureuse folie créatrice comme offerte par le divin au coeur de notre existence.
N’être aimé,le grand danger,
Ne serait-ce être incompris,
Insoumis au correct imposé,
Vivre toute l’intransigeance d’une liberté,
Reclus,satisfait en son bonheur,
N’être aimé pour cela,quelle importance.
Mais n’être aimé et n’être aimable,
Ou cette souffrance du coeur qui ne dit son nom,
Qui refuse l’amitié,le partage en toute fraternité,
Alors le véritable danger pour une âme qui ne reconnaît son amour,
Maître en sa destinée,guide en son éternité,
N’être aimé ou la grande incompréhension.
Pure nature,comment t’oublier,
Comment t’ignorer,te rendre futile,
Toi notre mère,nos corps sont tes enfants,
Retrouvons en notre mémoire ces liens intangibles,
Amour es-tu,oui tu nous offres cette vie,
En ces jours tu accueilles notre volonté d’exulter nos sentiments,
Les cieux te rendent réceptacle de notre vérité,
Belle nature,tes joyaux en appellent à notre sincérité,
A notre respect,à notre humilité,
En ton intense densité naissent nos plus vives vibrations,
Cet échange crée notre richesse,notre trésor intime,
Notre âme retrouve sa noblesse,l’évidence de sa divinité,
Pure nature,si précieuse est cette existence en ton sein.
Le sage connaît sa fortune,son essentielle richesse,
Curieusement ne fait-il d’envieux,
Le roi de ce monde,le fort cupide,
Impose ses incroyables prérogatives,
L’argent a ses raisons que le coeur ne saurait entraver,
Arrive pourtant l’instant du doute,
Quand l’âme réclame son importance,
Veut retrouver sa première volonté,
Rendre bilan à ses sentiments,
Etablir la valeur de son amour,
Rencontrer sa sincérité,
En son être profond,en appeler à sa vérité,
Envier alors le sourire,la sérénité du sage,
Son essentielle richesse.
La vieillesse s’impose de toute son évidence,
La renier ne serait-il renier notre naissance,
En elle la somme des certitudes de nombre d’années,
Nombre de jours d’une existence toute vouée à la gloire de notre amour,
Au rendu de notre noblesse spirituelle,
Elle rend la mort,
O grand certes,mais guide est-elle bien avant tout,
Vers cette autre réalité,vers cet éternel présent,
Vers le divin pays des plus précieuces volontés,
Des voeux sincères de notre être profond,
La vieillesse laisse tomber ce manteau de chair devenu si lourd,
Voit notre âme retrouver toute sa vérité originelle,
Son éternelle jeunesse.