L’arbre de vie te propose de cueillir ton rêve,
Mais point trop tôt,
Viendra l’idéale saison,
Combien ton rêve fera le bonheur de ce précieux instant,
Rendras-tu grâce à ta patience,
Ton rêve mûr fera alors le délice de ta volonté,
Le sel de ta sérénité,
Divine récompense pour tant de sincérité,véritable humilité,
Rends respect et reconnaissance au nourrisseur de tes jours,
Père de ton amour,
Lui l’arbre de vie.
Vois le reflet de ton âme dans le miroir de ta prière,
Ne crains de découvrir tes doutes,de retrouver tes regrets,
Cite-les en toute conscience,en toute connaissance de leur influence,
Qu’elles n’entachent plus ton éternelle jeunesse,
Car ton âme,au contraire de ton corps,retrouve pas à pas son premier aspect,
Là est tout le mystère de sa destinée,
Doit-elle accepter ce devoir,grandir sans cesse son pouvoir,
Etre enfin digne d’affirmer sa divinité,il faut donc la mériter,
Entendre le perpétuel message de l’espérance,
Traduis-le en ton coeur,
A l’instant même où tu vois le reflet de ton âme dans le miroir de ta prière.
Le sourire traduit la vérité de notre âme sur notre corps,
Son expression est universelle,car son évidence est éternelle,
Le sourire rapporte la richesse du coeur,
Exprime-t-il alors la bonté,la compassion ou l’amitié,
Ne serait-il sincère que chacun pourrait s’en apercevoir,
Le faux sourire se dévoile sur l’être si peu soucieux de son amour,
Qui use de son inconscience,
Qu’il y pense,les jours ne connaissent la patience,
Sans faillir se décomptent-ils,
Que le vrai sourire habille enfin son apparence.
Chacun porte en son coeur un éternel bonheur,
Dieu qu’il n’est évidence en cette provisoire existence,
Nous faut-il alors le retrouver,
Rendre en apparence toute sa divinité,
Faire fi de toute souffrance,
Qu’un permanent sourire témoigne sa présence,
Qu’à toute épreuve il accorde sa confiance,
Laissons-nous guider par la divine vérité de notre éternel bonheur.
Le bon ouvrier de l’existence maîtrise sans mal son don d’espérance,
Il oeuvre en ces jours par tout le talent de son amour,
Il s’enrichit d’une riche expérience,
Serait-il artiste qu’il prouverait son art de vivre,
Mais si humble s’avoue-t-il qu’artisan des certitudes,
Maître sincère de son éternelle destinée.
Ah notre monde,vaste monde,
Toi bien plus que notre regard peut apercevoir,
Au-delà de ton apparence une incroyable évidence,
L’éternelle danse des consciences en mal de certitudes,
Non tu n’es pas que cet ensemble de corps semblant perdus au sein de ton immense nature,
Que ces grains de poussière posés là en ton vaste univers,
Planètes de vie,porteuses des âmes toutes vouées à leur divine destinée,
Toi notre monde,
Sommes-nous dignes de saisir l’essence première de ton mystère.